A la place du service militaire, j’ai passé deux ans en Nouvelle Calédonie dans le cadr…
En savoir plus1€ = 1 arbre 1€ pour la protection de la forêt et le reboisement des zones dévastées en Haute Amazonie au Pérou dans la Région de San Martin en donnant les moyens à des jeunes “campesinos” hommes ou femmes d’avoir une culture de rentes . Le projet c’est reconstituer 15/20 ha de forêt tropicale avec la participation de 30 à 40 jeunes agriculteurs. La culture du cacao “biologique” demande de l’ombre pour que les plants de cacao puissent grandir et produire dans de bonnes conditions des fèves de qualité. La couverture forestière réduit le ruissellement de surface et atténue les variations de débit des rivières. En facilitant l’infiltration de l’eau dans le sol, les forêts contribuent également à filtrer les polluants et à alimenter les nappes phréatiques en eau de qualité. 1€ pour contribuer à améliorer le quotidien des populations locales au travers de la culture du cacao et le revente du bois. A moyen terme, produire un bois tropical de qualité à croissance rapide: le pucaquiro (Simiria williamsii), le Shaina (Colubrina glandulosa) et d’autres. Accroitre la production agricole de cacao dans la vallée d’Ashcuyacu au Pérou, au travers d’un projet d’agriculture de développement durable. Le choix des nouveaux bénéficiaires est fait suite à la rencontre des candidats pour voir leurs motivations et la faisabilité de la culture -visite des parcelles. La formation des nouveaux bénéficiaires se déroule sous forme de journées avec des intervenants (techniciens…) rencontres de producteurs de cacao et visites sur le terrain de parcelles déjà en cultures, visites de coopératives…
CONTEXTE SOCIO-ÉCONOMIQUE DE LA RÉGION DE SAN MARTIN AU PÉROU
Le département de Saint-Martin au Pérou est située dans la zone « selva haute » de l’est du pays ; tout son territoire se trouve dans la région tropicale péruvienne. Son étendue est de 53 064 km2, avec une population proche des 500 000 habitants dont 30 % sont en zone rurale. Une grande part de la population a migré des hauts plateaux (Sierra) pour s’installer dans les vallées le long des fleuves et rivières, rejoignant les populations locales de la forêt. Pour survivre, elles ont déboisé des espaces pour installer les villages et les champs. Dans la zone rurale (communautés rurales de campesinos), 60,5 % de la population est touchée par la pauvreté, dont 36 % d’extrêmement pauvres.
QUEL AVENIR POUR LES JEUNES ?
Une grande partie des jeunes sont scolarisées dans des jardin d’enfants, des écoles puis des collèges des “Communautés rurales” avec le risque surtout pour les filles de ne pas aller très loin dans les études : il faut aller aider les parents dans leur travail. Ceux qui poursuivent leurs études doivent partir “en ville” pour rejoindre des “lycées” ou même des études supérieures. La tentation est très grande de partir ensuite chercher du travail dans les grandes villes du Pérou (Lima, Tarapoto, Moyobamba…) faute d’emplois sur place: les emplois proposés ne sont pas à la hauteur des attentes. Il y a aussi la recherche d’une solution en partant ailleurs auparavant en Espagne, aujourd’hui Chili Argentine…
MON ENGAGEMENT PERSONNEL
Après un temps de coopération en Nouvelle Calédonie comme enseignant, je fais de l’animation de groupes de jeunes dans le cadre du MRJC (Mouvement Rural de Jeunesse Chrétienne) en les sensibilisant à la dimension internationale au travers de voyages d’études au Brésil, Mali, Nouvelle Calédonie, Haïti, Pérou: découverte des Cultures, rencontre de personnes et de groupes (associations, coopératives…) acteurs de leur propre développement. Actions de sensibilisation au développement des peuples du sud au travers du Commerce Équitable ( en étant présent avec des jeunes sur le marché une fois par mois de février à juillet et à certaines occasions).
LES LIENS AVEC LE PÉROU
Suite au séjour au Pérou avec les jeunes en 2003, nous avons accueilli quatre jeunes de la JARC (Jeunesse Agricole et Rurale Catholique) pendant un mois en 2004. Lors d’une visite chez chacun d’eux en 2006, j’ai été intéressé par l’engagement de l’une d’elles auprès des jeunes – Cristina Ramirez. Cela a fait germer l’idée de créer une association spécifique pour l’aider dans ses projets et ceux de son association: ainsi est née l’ADJP (Association pour le développement de la Jeunesse au Pérou) avec son embauche comme animatrice et coordinatrice des projets.
DES PROJETS DE DÉVELOPPEMENT DANS LA RÉGION DE SAN MARTIN
L’association a mis sur pied avec l’animatrice locale différents projets de développement: formation de jeunes femmes, élevage de poules de basse-cour, animation de groupes de jeunes, plantations de Cacao. Ces projets ont pour vocation à permettre une formation citoyenne des jeunes de façon que les jeunes prennent des responsabilités dans leurs communautés – maire, conseillers, parents d’élèves…- et en même temps de développer une économie locale qui leur permettre de vivre dans leur vallée sans s’expatrier.
LES PROJETS CACAO
Nous travaillons par phase à la mise en place de nouvelles parcelles de cacao organique -selon des modes de cultures biologiques. Le choix de cette culture a été fait à partir du constat que cette culture peut régénérer des sols déforestés à 100% et elle permet de garder un couvert végétal important tout en permettant une culture de rente comme le cacao qui est aujourd’hui très recherché sur le marché mondial en particulier le cacao de l’Amérique latine. Les projets déjà réalisés permettaient aux bénéficiaires d’être formés et de mettre en place 0,5 ha de cacao: ce programme se réalise dans la vallée d’Ashcuyacu. Actuellement il y a eu déjà 42 bénéficiaires de ces projets.
NOUVEAU PROJET CACAO
Sur place les campesinos nous disent que pour faire vivre une famille, il faut compter 3,5 ha de cacao. L’objectif de l’association est de contribuer à ce que chacun ait au moins un ha de cacao – de façon à ce que le ou la campesino/a s’investit dans la culture de son champ- et aussi de permettre à d’autres jeunes de commencer cette culture.
IMPACT ÉCONOMIQUE DU PROJET
Le projet va permettre à 15 jeunes d’accroitre leur parcelle de cacao et à 10 à 15 nouveaux bénéficiaires de se lancer dans cette nouvelle culture. Le but recherché est de permettre à des jeunes de s’installer dans leur vallée et de vivre de leur travail, de prendre en main leur destin en s’investissant dans le projet. La population locale est déjà sensibilisée à une agriculture durable et biologique et le projet va leur permettre d’ouvrir un espace de travail et de vie possible.
IMPACT ENVIRONNEMENTAL
Le choix de cette culture rend possible l’association de la préservation de l’environnement, de la forêt tout en donnant des moyens de subsister, de faire vivre leur famille.
IMPACT SOCIAL
Que les jeunes puissent vivre sur place sans chercher à partir ailleurs: la vitalité d’une agriculture locale va générer des petits commerces (épiceries…), des services de transports, une vie associative…
LA CONTRE PARTIE
1€ donné – on peut donner plus – c’est un arbre personnalisé avec une étiquette à votre nom (ou prénom, pseudonyme, adresse…). A vous de choisir . Et aussi votre nom, prénom ou pseudo… dans un cahier de donateurs que chaque agriculteur recevra avec le Message que vous souhaitez transmettre aux jeunes agriculteurs si vous le désirez. C’est un certificat qui situera dans quelle communauté rurale, quelle parcelle, quel agriculteur a bénéficié de votre soutien.
A la place du service militaire, j’ai passé deux ans en Nouvelle Calédonie dans le cadre de la coopération comme enseignant dans un collège. Depuis plus de 40 ans, j’assure l’animation de groupes de jeunes dans le cadre d’une association dans un but d’éducation à la citoyenneté et à la maitrise de son devenir.
C’est dans ce cadre là que j’ai mis en place des voyages d’études à l’étranger (Brésil 1990, 1992 Nouvelle Calédonie, Mali 1994, Haïti 2001, Pérou 2003) dont l’objectif était la rencontre des peuples et la façon dont ils se prennent en charge dans leur vie dans les dimensions économique, sociale, culturelle, politique: Visite de coopératives (café, cacao, coton…) rencontre de leaders politiques (Mali, Nouvelle Calédonie) Associations de jeunes (Brésil, Mali, Pérou)…
En 2004, nous avons mis en place l’accueil de 4 jeunes de la JARC du Pérou pour une découverte de nos réalités.
Après une visite dans les différentes régions du Pérou de ces jeunes, j’ai créé avec mon frère l’Association ADJP dont l’objectif est le soutien à la formation de jeunes et l’aide à des projets de développement dans le département de San Martin. Aujourd’hui l’association compte une quarantaine de membres.
Les projets soutenus, une formation pour des jeunes femmes, de petits élevages de poules pour les femmes, plantation de 15 ha de cacao auprès de 30 bénéficiaires, formation de leaders pour des groupes de jeunes.
Site de notre association: http://www.adjp-france.com
20 €
20 €
10 €
50 €
30 €
10 €
10 €
Avec bonheur je vois que les soutiens continuent d’arriver sur le site ou à moi directement car quelques-uns sont mal à l’aise avec l’informatique et Internet : alors je charge la somme sur le site… Il reste un peu plus de trois semaines pour arriver à l’objectif.
Envoyé il y a environ un moisDes soutiens (Catherine, Jocelyne) me sont envoyés directement à charge à les entrer nous-mêmes sur le site… Merci ! Continuez à faire connaitre le projet
Envoyé il y a environ un moisPeu à peu les soutiens arrivent et grâce à vous la première étape est franchie mais la route est encore très longue pour réaliser l’objectif final: merci de diffuser déjà cette première réussite !
Envoyé il y a 2 moisPeu à peu les soutiens arrivent, merci à tous ceux qui participent… la première étape est presque franchie… Il ne faut pas lever le pied: transmettez à vos connaissances…
Envoyé il y a 2 moisTout d’abord un grand merci à nos trois premiers soutiens qui ont permis la mise en ligne du projet
Envoyé il y a 2 moisUn beau projet…
Envoyé il y a 3 moisPour un soutien de 2 EUR
Pour un soutien de 10 EUR
Pour un soutien de 50 EUR
Pour un soutien de 100 EUR