Arizuka : Le Blog

Mois

juin 2013

2 billets

Le crowdfunding : une solution pour se lancer !

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Pas facile de se lancer dans le domaine de l’entreprenariat de nos jours, qu’il soit social ou traditionnel ! Banques réticentes à vous prêter de l’argent, investisseurs difficiles à séduire, concurrence acerbe… Les entrepreneurs du XXIe siècle ne sont pas toujours récompensés pour leurs efforts, leur investissement personnel et les risques pris.

George Bernard Shaw, prix Nobel de littérature en 1925, ironisait même déjà à l’époque sur le fait « qu’une banque vous prête un parapluie quand il fait beau et vous le reprend quand il pleut ».

Mais aujourd’hui une alternative au financement bancaire s’offre aux entrepreneurs pour faciliter leurs démarches et leur offrir la possibilité de démarrer leur activité sans stress (ou presque 🙂 ) : le crowdfunding ou financement participatif en France. Cette alternative est d’ailleurs actuellement mise en avant et prônée par le gouvernement français, qui en fait une priorité de l’été et travaille ardemment à la régulation de ce secteur aux contours encore peu connus du grand public. Et hier encore (lundi 22 juin 2013), le Ministre de l’Economie et des Finances français, Pierre Moscovici reconnaissait sur Twitter  que “Les PME doivent être moins dépendantes du financement bancaire”.

 

Mais qu’est-ce que le crowdfunding exactement ?

 

Ce mode de financement se présente aujourd’hui aux entrepreneurs et porteurs de projets comme un moyen de lever des fonds auprès des internautes, et plus particulièrement auprès de leur communauté par le biais des réseaux sociaux. Il permet également d’évaluer l’attractivité d’un projet en fonction du succès obtenu lors de la campagne de collecte et de gagner en visibilité.

 

Et voici pour finir quelques conseils que l’équipe d’Arizuka prodigue à tout entrepreneur et plus généralement tout porteur de projet intéressé par le financement participatif :

 

• Ne demandez pas un montant  excessif, qui rebutera vos potentiels soutiens par peur de voir la campagne échouer ;

• Parlez de votre projet à vos proches et connaissances pour « préparer le terrain » avant de lancer votre campagne ;

• Préparer une présentation soignée, claire et illustrée de votre projet ;

• Soyez présent sur les réseaux sociaux (Facebook, Twitter, LinkedIn, Viadéo…) pour promouvoir votre campagne et son projet !

 

Sources :

huffington post

journal du net

Jun 25, 2013
Le point sur… le forum mondial Convergences édition 2013

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Cette année le forum mondial Convergences aura lieu les 17 et 18 septembre au Palais Brongniart et le 19 à l’Hôtel de ville de Paris. Lieu de rencontre du secteur public, du monde de l’entreprise, de la société civile mais également des médias et des étudiants, Convergences est un événement international qui vise à promouvoir les Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD) ainsi que la lutte contre la pauvreté et la précarité dans les pays du Nord et du Sud.

http://www.convergences2015.org/fr/

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Jun 18, 2013

mai 2013

3 billets

Faites marrer vos pieds !

Rares sont ceux qui, en regardant leurs pieds, s’écrient “Eurêka !”. Il faut dire qu’on a tendance à les connaître, nos pieds. On les a vus, saisis, sentis, depuis notre plus tendre enfance. Ils font partie du paysage. Et pourtant, ils constituent un fabuleux terrain de jeu pour l’innovation et la solidarité !

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A Saint Malo, Adrien Bischoff, qui les a sur Terre (les pieds), a parié dessus (les pieds toujours) en lançant Josette & Tic, les Josettes solidaires : pour dix paires de chaussettes achetées, un uniforme est financé, destiné à un enfant d’Asie du Sud-Est. L’utilité ? Du travail pour les couturières et tisseuses locales, et la possibilité pour ces enfants d’être scolarisés, l’uniforme constituant l’indispensable sésame leur permettant d’accéder à l’école.

Sur place, c’est l’association Enfants du Mékong qui supervise les opérations de confection et de distribution des uniformes. Les chaussettes, quant à elles, sont produites dans une usine familiale du nord de Porto. Grâce aux Josettes, plus de 500 enfants ont d’ores et déjà pu être scolarisés et Adrien a pu aller à leur rencontre en début d’année. Une démarche innovante, marrante, transparente et solidiaire !

Pour tout savoir : http://www.josette-tic.com/

May 21, 2013
#solidarité #chaussettes
Arizuka à l’honneur sur MonEcoCity.fr

Cette semaine, Arizuka est à l’honneur sur le site MonEcoCity, où vous pouvez également télécharger gratuitement le guide pratique et solidaire “Vivre mieux en dépensant moins”.

May 21, 2013
#Arizuka #solidarité
Les nouveautés

Peu de nouvelles ces dernières semaines sur ce blog, et pour cause ! Nous vous préparions plusieurs nouveautés, désormais disponibles sur Arizuka !

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La plus visible est sans doute la version anglaise du site, dont l’interface est donc disponible dans deux langues. Moins visible mais très utile pour nos porteurs, les projets peuvent également être présentés dans la langue de Molière et dans celle de Shakespeare. Si vous avez besoin de présenter votre projet dans une autre langue, faites-nous signe !

Pour les soutiens, le paiement par carte bancaire est (enfin !) disponible et la commission en cas de succès pour ce type de paiements est de 5% TTC pour les porteurs, monétique incluse. Le financement participatif n’a jamais été aussi accessible pour les projets innovants et solidaires !

Enfin, pour continuer sur notre lancée, les collectes peuvent désormais être effectuées en euros, dollars américains, canadiens ou australiens, en couronnes danoises, norvégiennes ou suédoises, en francs suisses, livres sterlings et même en yens !

A bientôt !

Few news theses days on this blog, but that was for good ! We were preparing some new features, now available on Arizuka !

The most visible is the English version of Arizuka, which interface is now available in two languages. Less visible but very useful is the ability for our  holders to present their projects both in French and English if needed. If you would like to present a project in an other language, just send us a message !

For the backers, credit card payments are now available, and the site fee for them is 5% VAT included. Crowdfunding has never been so accesible for innovative and solidarity projects !

Last but not least, campaigns can now be run in euros, US, Canadian or Australian dollars, Norwegian, Danish or Swedish crowns, pounds sterling,  Swiss francs and even Japanese yens !

See you !

May 8, 2013
#arizuka #crowdfunding

mars 2013

1 billet

Prochaines conférences & tables rondes

Retrouvez l’équipe d’Arizuka au mois de mars lors de diverses manifestations. N’hésitez pas à venir échanger avec nous :

– Vendredi 15 mars de 15h à 17h, lors d’une conférence dédiée à l’innovations sociale, dans le cadre de la manifestation Gabon, Terre de Talents, à la Maison de l’Afrique et des Caraïbes, à Paris. (+ d’infos)

– Mardi 19 mars, nous sommes invités par le groupe Economie Sociale & Solidaire de l’Ecole Centrale Paris à présenter les différents aspects de l’ESS,

– Jeudi 21 mars, toute la journée, nous fêterons le retour du printemps à Poitiers, lors de la deuxième étape du Tour de France de la Finance Participative, à l’Hôtel de Région Poitou-Charentes.

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Mar 11, 2013
#arizuka #événement #crowdfunding #financement participatif

février 2013

2 billets

Et les 20 finalistes sont…

Bonjour à tous,

Voilà, c’est fait ! Les 20 finalistes de l’appel à projet Dreamshake + Arizuka ont été révélés cette semaine !

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Les noms des 10 lauréats seront annoncés la semaine prochaine. D’ici là, nous publierons régulièrement sur nos pages Facebook et Twitter des zooms relatifs à chacun des 20 finalistes.

Restez connectés !

Feb 15, 2013
#arizuka #projet #crowdfunding
HappyRuche crowdfunding

Mercredi 30 janvier dernier, La Ruche accueillait Arizuka, ainsi que nos camarades de Mailforgood, Babeldoor, KissKissBankBank, United Donations et Bamboo & Bees.

Au programme de ce rendez-vous, présentation des différentes formes de financement participatif, en particulier le don et le don contre don, rappel des problématiques juridiques inhérentes au crowdfunding et présentation des plateformes. Une fois ceci fait, des ateliers réunissant porteurs de projets et représentants de plateformes ont permis à chacun d’échanger sur les bonnes pratiques à suivre lors d’une campagne de collecte.

Voici donc quelques conseils prodigués par les opérateurs de plateformes de financement participatif :

A faire

– Laisser fonctionner son imagination pour trouver des contreparties intéressantes pour les soutiens, penser aux contreparties ou récompenses comme vecteurs d’engagement des soutiens dans le projet (pour les campagnes en don contre don) ;

– Prendre son temps, se lancer lorsque l’on se sent prêt et que l’on est sûr de soi, que l’on a identifié ses réseaux et sa communauté ;

– Etre très clair quant au besoin de financement et à l’utilisation des fonds.

A ne pas faire

– Ne pas lancer deux collectes en parallèle, sous peine de brouiller son message et de perdre ses soutiens potentiels ;

– Ne pas lancer sa campagne dans la précipitation.

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Trois associations ont ensuite “pitché” l’audience, qui a pu poser des questions et se mettre à la place de potentiels soutiens :

– A deux mains, qui organise la prise en charge socio-éducative d’enfants sourds, entendants nés de parents sourds, de moins de 3 ans et de leur famille ;

– Kalaweit, qui oeuvre pour la sauvegarde des gibbons, principalement en Indonésie ;

– Blue Energy, qui travaille à l’amélioration des conditions de vie des populations isolées (eau potable, énergies renouvelables) dans les pays en développement.

Chaque association a pu présenter un projet spécifique et répondre aux questions du public, l’objectif étant que chacun évalue les projets en tant que contributeur éventuel.

Feb 4, 2013
#Arizuka #HappyRuche #crowdfunding

janvier 2013

2 billets

Agenda

Bonjour à tous,

Vous le savez, nous aimons vous rencontrer et échanger avec vous sur de multiples sujets : financement participatif bien sûr, mais aussi entrepreneuriat, économie sociale et solidaire, révolution numérique, etc.

Si vous êtes parisiens, voici deux conférences auxquelles nous participerons la semaine prochaine, n’hésitez pas à venir nous voir !

– Mercredi 30 janvier, nous serons à La Ruche, 84 quai de Jemmapes, pour un Happy Ruche spécial crowdfunding (à partir de 19h). Plus d’informations sur le site de La Ruche.

– Jeudi 31 janvier, nous serons à la Sorbonne pour une conférence organisée par Sorbonne Junior Conseil (SJC) sur le thème de l’entrepreneuriat (à partir de 19h). Plus d’informations sur la page Facebook de SJC.

A très bientôt,

L’équipe d’Arizuka

Jan 23, 2013
#arizuka #entrepreneurs #entrepreneuriat social #conférnce
Jan 16, 2013
#arizuka

décembre 2012

3 billets

Etes-vous open (data) ?

L’open data, c’est quoi ? 

C’est d’abord un mouvement, initié au milieu des années soixante, qui a vu l’adoption par différents gouvernements, dans différents pays, de textes de lois visant à diffuser et rendre accessible au plus grand nombre l’information publique. Ce mouvement a réellement pris de l’ampleur avec la démocratisation du web dans années 2000 et la présidence Obama. Les Etats-Unis lancent en effet la plateforme data.gov en 2009 et le Royaume-Uni leur emboîte le pas en 2010 avec data.gov.uk. On le voit, l’open data (au sens strict), repose sur la mise à disposition de données publiques juridiquement réutilisables. 

Nous y retrouvons la vision portée par le plus connu logiciel libre : la liberté d’utilisation et de modification d’un contenu, d’une information ou d’une donnée, tant que sont respectées les volontés de l’auteur initial, généralement exprimées dans une licence de réutilisation. Par exemple, pour les données ouvertes de paris.fr, la licence applicable est précise quant aux conditions d’utilisation et de réutilisation des données : voir ici.

Cependant, l’open data n’est pas strictement comparable au logiciel libre. En effet, quid par exemple de la liberté (fondamentale pour le logiciel libre) de redistribuer les versions modifiées des données ? Est-elle réellement applicable et pertinente dans le cadre de données publiques ?

Pour tenter de résumer, toute contrainte sur l’accès, l’utilisation ou la modification de la donnée fait qu’elle n’est pas ouverte.

Plus largement, et au-delà de cet aspect de partage de la connaissance, la notion d’open data  peut aussi recouvrir le contrôle par l’utilisateur de ses propres données, qu’il fournit par exemple aux administrations, sociétés, ou sites web. Cela peut être exprimé par les deux citations suivantes :

« Customers of any application own the data they enter into it. », « Les clients possèdent les informations qu’ils fournissent aux logiciels », Jeffrey Veen

« I want my data back », « Rendez-moi mes données », Jon Bosak

Pourquoi « libérer » des données ?

Concernant l’open data au sens strict, les états y voient un moyen de renforcer la démocratie et d’améliorer la transparence des processus sur lesquels elle se base.

Plus généralement, Internet est une immense base de données. Ou plutôt une multiplicité de bases de données gigantesques n’ayant que rarement des liens les unes avec les autres. Tant d’informations sont disponibles que beaucoup d’organisations n’ont pas la capacité de les traiter, de les analyser, bref, de les faire parler efficacement. Ces données peuvent donc être « libérées » pour que le public puisse les utiliser, voire les combiner avec d’autres jeux de données libérés par ailleurs, et créer ainsi de la valeur pour la communauté.

De plus, l’idée fondamentale derrière l’open data est que la donnée transmise par un utilisateur lui appartient, et n’est pas la propriété du dépositaire, qu’il s’agisse d’une société, d’une association ou d’une administration. Il y a donc, derrière la libération des données, une dimension citoyenne (la donnée n’appartient pas à son dépositaire) et une dimension pragmatique (pourquoi accumuler des données si l’on ne dispose pas de la capacité de les exploiter ?).

Quelques exemples en France

En France, la mission Etalab a été officiellement créée en février 2011, et a lancé il y a un an tout juste le site data.gouv.fr, qui présente à l’heure actuelle plus de 350 000 jeux de données libres. Les utilisateurs peuvent demander de nouveaux jeux de données ou échanger concernant les données existantes (questions, signalement de données incomplètes, etc.).

La RATP a également fait un pas dans l’open data en libérant les données relatives aux plans de ses réseaux. Les mauvaises langues diront qu’il manque encore les horaires, mais cela constitue déjà un premier pas et un exemple pour d’autres organisations.


Arizuka et l’open data

Arizuka n’est pas une administration, et ne rentre donc pas dans l’univers de l’open data au sens strict. Cependant nous souhaitons intégrer, à terme et à des fins de transparence, un module permettant à chaque utilisateur de récupérer l’intégralité de ses données stockées sur nos serveurs. Nous n’avons pas encore de date précise à avancer, mais une mise en œuvre courant 2013 est envisageable.

A bientôt,

L’équipe d’Arizuka, avec la participation de Bastien Guerry, que nous remercions pour son aide précieuse !

PS : N’hésitez pas à nous faire part de vos commentaires et réactions sur Facebook & Twitter… en attendant notre nouveau blog !

Dec 11, 2012
#arizuka #open data
Dec 6, 2012
Appel à projets !
Financez vos idées, rêves et projets avec Arizuka & Dreamshake Participants

– Toute personne physique majeur ou personne morale (association, entreprise) ayant une idée ou un projet intéressant ; 
– Aucune restriction géographique, tous les projets sont les bienvenus (France, Belgique, Suisse, Asie, Afrique…).

Critères

– Avoir un projet original, audacieux et inspirant ; 
– Avoir une cohérence entre le projet et le porteur de projet ; 
– Aucune restriction imposée sur la thématique. Votre projet peut être lié à (voyage, aventure, solidarité, développement durable, art, culture, sport, innovation, invention, entrepreneuriat, etc.).

Processus de sélection

– 1ère sélection de projets par un 1er jury pour élire les 20 premiers projets ; 
– 2ème sélection pour élire les 10 premiers lauréats qui pourront lancer une campagne de financement participatif (crowdfunding).

Récompense

– Inscription des 10 projets sur la plateforme Arizuka / DreamShake ; 
– Soutien et accompagnement de Arizuka et DreamShake pour la collecte des fonds ; 
– Médiatisation des projets et appui au buzz sur les réseaux sociaux.

Formalités d’inscriptions

1ère phase : 
– Devenir fan de DreamShake et Arizuka sur Facebook ; 
– Rédiger un résumé de 5 lignes maximum sur votre projet ; 
– Joindre à l’email toutes informations utiles à la bonne étude de votre projet (dossier de présentation, vidéo, liens, site internet…) ; 
– Puis envoyer le tout par email à contact(at)dreamshake.com

Planning et date limite des inscriptions

1. Dépôt des dossiers avant le 27 janvier 2013 minuit pour la 1ère phase ; 
2. Annonce des 20 premiers projets sélectionnés vers le 11 février 2013 ; 
3. Annonce des 10 lauréats par le jury le 21 février 2013 ; 
4. Mars 2013 : Inscription des projets sur la plateforme Arizuka / DreamShake puis lancement des collectes.

Dec 5, 2012
#projet #arizuka

novembre 2012

3 billets

Une bonne illustration = plus de chances de réussite

Arizuka a déjà accueilli bon nombre de projets, et nous arrivons à certaines conclusions qui peuvent vous être utiles. Penchons-nous sur le cas des illustrations des projets.

Un projet bien illustré aura toujours beaucoup plus de chances de réussir. Alors n’hésitez pas a passer quelques instants de plus sur l’illustration de votre projet pour améliorer l’efficacité de votre collecte.

Petit tour de ce que vous devez savoir.

Une image, mais pas que…

Votre image ne vivra pas toute seule mais sera accompagnée du titre de votre projet ou d’un mini résumé. Elle doit donc accompagner le titre, être son prolongement. Apposez-y votre logo si vous le souhaitez mais pas n’y ajoutez pas trois lignes de texte.

Au centre ! Au centre !

Le message de votre image doit être au centre. Ne commencez pas des mise en scene complexes, vous perdrez le visiteur. Soyez direct !


Trop d’information tue l’information

Ne surchargez surtout pas l’image, au risque qu’elle perde son sens.  Si vous n’êtes pas sûr de vous, privilégiez une image simple.

Imaginez que vous voulez mettre une photo de votre petite amie dans votre portefeuille. Vous n’avez pas envie qu’elle soit noyée au milieu de plantes, d’autres gens, de perroquets et de grille-pains. Et bien l’internaute est pareil. il veut comprendre votre illustration et votre projet rapidement.

Elle est bizarre ton image !

Ne déformez pas votre image. Evitez les photos agrandies et qui deviennent pixelisées, tout comme les couleurs qui bavent….

Si t’as pas les droits, t’as pas le droit !

Au-delà de ce titre assez mauvais, c’est une question fondamentale. N’utilisez pas d’image que vous récupérez n’importe où sur Internet. Assurez-vous qu’elle vous appartient et que vous avez le droit de l’utiliser. Si vous n’avez pas les droits d’utilisation, cela peut vous couter très, très cher.

Petits outils qui peuvent vous aider à créer votre illustration 

Un excellent site qui vous aidera simplement a modifier vos images : http://pixlr.com/express/

Conclusion

Si vous nêtes pas a l’aise avec les médias de l’image, restez simple !

Voici quelques exemples que nous avons dénichés sur la toile et qui nous paraissent bons :

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Nov 29, 2012
#crowdfunding #financement participatif #présentation projet #todo #conseil #votre projet
Coeur de broker : que fait une banque ?

Dans le premier billet de cette série, nous tentions de donner une définition de la finance, et rappelions son rôle central dans l’économie. J’insistais sur le fait que ses mécanismes de base sont à la portée de tous, à partir du moment où l’on prend le temps d’en expliquer sereinement les notions sous-jacentes.

On l’a vu, la finance est une zone intermédiaire de l’économie permettant de faire circuler l’épargne des uns vers les besoins des autres. Cette zone est constituée d’acteurs dont les plus connus du public sont les banques.

Mais ce qui rend quelque peu hermétique au public l’univers de la finance est l’éloignement progressif (ou la diversification progressive) qui s’est opérée depuis trois décennies entre l’activité de base des banques (je collecte l’épargne des uns, ce qui me permet de prêter aux autres) et les activités qui ont émergé depuis la fin des années 70.

Décortiquons donc ensemble les activités d’une banque…

– La banque de détail : c’est la banque du coin de la rue, que vous connaissez tous. Celle justement qui pratique l’activité de base évoquée précédemment, c’est-à-dire une activité de dépôt et de prêt auprès de particuliers et de PME.

Exemples : compte courant, PEL, Livret A, etc.

– La gestion d’actifs : beaucoup de banques proposent à leurs clients d’investir dans des fonds, qui sont souvent gérés par des branches dédiées des grands groupes financiers. Des gérants ont pour mission d’investir dans des actions, des obligations, de l’or, des matières premières avec pour objectif de faire fructifier les sommes placées par les investisseurs.

Exemple : en France, ces fonds sont communément appelés des OPCVM (Organismes de Placement Collectif en Valeurs Mobilières)

– La banque de financement : c’est la partie de la banque d’affaires qui finance des grandes entreprises ou des états pour des projets importants : trains, avions, usines, etc.

– La banque d’investissement : son rôle est d’organiser pour des entreprises de grandes opérations : émission d’actions (ouverture de capital) et d’obligations (dette), fusion / acquisition. Elle intervient aussi, au nom de ses clients ou en son nom propre, sur les marchés financiers.

Exemple : la banque d’investissement la plus connue et la plus controversée est probablement Goldman Sachs

– Le crédit-bail : la banque loue aux entreprises des biens matériels, tels que voitures ou immeubles, avec une option d’achat ou de reprise à une date déterminée.

– Les hedge funds : ce ne sont pas des banques, car ils ne sont pas contraints à la même réglementation stricte. Leur objectif est de faire du profit en suivant des stratégies alternatives, parfois risquées, qui nécessitent souvent des investissements importants. Leurs principaux clients sont … les banques, qui vont y chercher une rentabilité supérieure à leurs investissements plus “classiques”.

Nov 21, 2012
#finance
La mort du web social sonne l’avènement du web 3.0

Après le web 1.0, caractérisant l’Internet du début des années 1990 et se référant aux pages web liées entre elles par des hyperliens, et le web 2.0 émergeant dans les années 2000 en liant les personnes entre elles (courrier électronique, blogs, forums de discussion puis réseaux sociaux), se dessinent dès aujourd’hui les contours du web de demain… 

Le Web social (définition Wikipédia) fait référence à une vision d’Internet considéré comme un espace de socialisation, un lieu dont l’une de ses fonctions principales est de faire interagir les utilisateurs entre eux afin d’assurer une production continuelle de contenu, et non plus uniquement la distribution de documents.

En synthèse de ce qui est développé ci-dessous, la notion de web 3.0 peut être vue de deux manières diamétralement opposées :

  • Une vision méliorative, dans laquelle la grande innovation consiste en l’intégration et l’interaction totale de l’environnement, les individus du web interagissant directement avec les entreprises et vice versa.
  • Une vision plus dégradée, qui postulerait qu’après un web social, le consumérisme à absorbé et intégré le modèle afin d’en faire un outil de marketing et de prospection 

Il est considéré comme un aspect très important du Web 2.0. En particulier, il est associé à différents systèmes sociaux tels que le réseautage social, les blogs ou les wikis.

Les médias sociaux constituent un vecteur de transformation de la manière par laquelle chacun communique et exerce ses activités. Le paradigme a ainsi évolué :

  • d’un accès à un web peu interactif vers un accès à une intelligence collective,
  • d’une organisation hiérarchisée vers une organisation plus égalitaire, flexible et réactive,
  • d’une marque propriété de l’entreprise vers une marque propriété du consommateur,
  • d’une situation contrôlée par l’entreprise vers une situation influencée par l’entreprise,
  • de réseaux de faible taille mais aux liens forts vers des réseaux de taille importante mais aux liens plus faibles,
  • d’une communication « one to many » vers une communication « many to many »,
  • d’un accès anonyme et non personnalisé au web à un accès authentifié et structuré autour du graphe social.

Rapidement adoptés par le grand public, les « objets » sociaux tels que les médias mais aussi des plateformes d’échange de plus en plus sophistiquées l’ont été plus récemment par les institutionnels. Des initiatives nombreuses permettent désormais à ceux-ci de détecter et de prendre en considération l’existence d’une large quantité d’informations et d’opinions, d’identifier, de collecter, d’évaluer et de traiter les données pertinentes, générées par les utilisateurs sur les différentes plates-formes sociales…

Ces initiatives permettent d’adresser sans intermédiaires les principaux enjeux de leur activité:

  • fidéliser des marchés saturés ou prendre position sur des marchés porteurs telle la génération Y ;
  • innover sur les offres, produits et services proposés ;
  • renforcer l’attachement à la marque / humaniser l’image de l’assureur ;
  • améliorer la qualité des prestations par une meilleure individualisation du service (écoute, psychologie…) ;
  • maîtriser les coûts par l’optimisation des processus et le pilotage des risques. 

Les outils disponibles aujourd’hui et utilisés par certains acteurs permettent par exemple de mettre en avant et de traiter des demandes ou réclamations client en temps réel sur des mots clés, d’analyser les sentiments et avis, de suivre ce qui se dit sur ses initiatives, ses produits et ses services. Ces outils peuvent ainsi contribuer à :

  • jauger la perception du marché sur les produits, les services ou la marque,
  • améliorer la veille concurrentielle au travers des commentaires laissés par les consommateurs sur les concurrents,
  • exploiter ces résultats pour repenser ou adapter un produit, un service, en réponse aux préoccupations sous-jacentes de l’assuré,
  • Piloter la communication et faire des initiatives singulières

Par une surveillance constante des médias et autres relais sociaux ces outils permettent également d’anticiper les risques d’e-reputation en détectant au plus vite les points de vue et commentaires susceptibles d’être préjudiciables s’ils ne sont pas traités suffisamment en amont.

Les grands institutionnels se sont ainsi rapidement rendu compte que, s’il n’est pas maîtrisé, le buzz sur Internet peut avoir des effets dévastateurs. En effet, l’information peut être transmise instantanément à un large public, avec peu ou pas de contrôle sur le contenu. Ainsi, les outils de microblogging comme Twitter peuvent être des armes à double tranchant : parfaits pour connaître les préoccupations et les centres d’intérêt avec un excellent rapport coût-efficacité, ils peuvent se retourner très rapidement contre l’assureur en cas de traitement maladroit d’une demande client. Cependant, là aussi, la mise en place d’une gouvernance interne permet de contrecarrer ces effets néfastes et d’améliorer la notoriété de l’entreprise via une communication transparente mais maîtrisée.

Nov 6, 2012

octobre 2012

4 billets

Structure de capital d’une SARL : retour d’expérience (1/3)
La création

En 2010, nous créons la société Treize37 sous la forme d’une SARL. Nous sommes deux associés, avec chacun 50% des parts. Par praticité, nous sommes tous les deux gérants : chacun peut réaliser seul les démarches administratives au nom de la société.

Nous possédons collectivement au moins 50 % des parts, il s’agit donc d’une gérance majoritaire. Le type de gérance a un impact sur le statut social et fiscal des gérants. Nous sommes donc rattachés au régime TNS (Travailleur Non Salarié) géré par le RSI (Régime Social des Indépendants).

Nous ne comptons pas nous rémunérer, que ce soit par salaire ou par dividende. Or nous ratons deux subtilités de ce régime : 

1. Même s’il n’est pas rémunéré et si la société ne génère aucun chiffre d’affaires, le gérant cotise sur une base forfaitaire ;

2. Les cotisations sont payées par anticipation en début d’exercice, puis ajustées en fin d’exercice.

Conséquence : une cotisation minimale annuelle de 4000 €, à régler avant même que la société démarre son activité ! Deux mois après la création, nous recevons avec surprise un appel de cotisation de la part du RSI de plus de 1000 € ! Il sera possible d’en récupérer la quasi intégralité l’année suivante, mais quel choc sur notre trésorerie…

Nous retiendrons cette expérience fâcheuse au moment d’ouvrir pour la première fois notre capital, ce dont je parlerai dans le prochain billet de cette série.

Oct 30, 2012
#entreprendre #société #capital
Comment réussir ma vidéo de crowdfunding

Une bonne vidéo de campagne de crowdfunding permet de doubler vos chances de réussite !

Venez participer à la prochaine conférence de nos amis de touscoprod ce mercredi 24 octobre dans leurs locaux, dès 9h30.

Plusieurs invités, vous montreront qu’en appliquant quelques conseils simples, vous pouvez faire toute la différence : 

– Hugo Cierzniak porteur de projet de Dip’N Dance financé sur touscoprod

– Hortense Garand fondatrice de Babeldoor, plateforme généraliste de crowdfunding

– Fabrice Carrega fondateur de Arizuka, plateforme de projets solidaires

Attention, places limitées ! Cliquez ici pour vous inscrire !

Si vous ne pouvez pas vous déplacer, venez interagir lors de la retransmission en direct de la conférence, à 10h sur Facebook.

Nous vous attendons avec enthousiasme,

L’équipe d’Arizuka

Oct 23, 2012
#arizuka #vidéo #crowdfunding #financement participatif
Oct 15, 2012
#arizuka
Trois questions à Arizuka

Dans le cadre de la Social Good Week, Fabrice d’Arizuka a répondu à quelques questions pour le blog d’Anne-Sophie Novel “Alternatives”, hébergé sur le site du Monde.

– La Social Good Week est l’occasion de valoriser le rôle des réseaux sociaux dans le soutien d’actions durables. A vos yeux, comment les TIC permettent-elles de changer le monde ?

Les technologies de l’information et de la communication on déjà bouleversé notre monde, et ce en moins d’une génération. Le web et la majorité des outils que nous utilisons aujourd’hui quotidiennement n’existaient pas il y a vingt ans. Les premiers à avoir saisi la portée et la puissance de ces technologies ont été les businessmen, pour qui ces nouveaux flux d’informations étaient avant tout des flux marchands. 

Aujourd’hui, les tuyaux sont opérationnels : plus de 2 milliards d’êtres humains sont connectés à Internet, et la moitié d’entre eux environ dispose d’un compte Facebook. Ces connexions permettent le partage et l’échange, et pas seulement de biens de consommation. Ils permettent d’accéder à des points de vue différents, de partager des compétences et connaissances, de mobiliser des personnes pour une cause et même de découvrir ce qui se passe en bas de chez nous et dont nous n’avons même pas conscience ! Bref, ces technologies rapprochent les hommes, et nous sommes loin d’avoir exploité toutes les possibilités qu’elles nous offrent.

– Pensez-vous que ce type d’événement permet de toucher les publics encore novices – i.e. qui n’utilisent pas encore le web pour rendre le monde meilleur ?

Les technologies liées au web ont vu leur coût fortement baisser, et sont de plus en plus accessible. Deux fossés subsistent néanmoins : un fossé générationnel et un fossé économique. J’ai trente ans et les codes me permettant de comprendre et d’utiliser les outils technologiques me sont relativement familiers. Ce n’est pas forcément le cas des personnes n’ayant pas grandi avec ces technologies : il faut leur fournir les clés leur permettant de mieux comprendre et utiliser ces outils, qui sont généralement livrés dans un bel emballage mais sans aucun mode d’emploi.

De plus, Internet a une vocation universelle et doit rester un système ouvert. Il est important de rendre ce réseau et les outils qu’il offre accessibles au plus grand nombre. Il faut donc travailler à en réduire encore les coûts d’accès et à en faciliter la compréhension en évitant tout jargon inutile.

Nous avons essayé, en organisant la Social Good Week  de répondre à ces problématiques en gardant à l’esprit que les événements ont une vocation pédagogique et en faisant en sorte qu’ils soient tous gratuits. Il est certains que les premiers inscrits aux événements de cette semaine sont sensibilisés à ces thématiques. Néanmoins, nous avons aussi des retours de personnes s’inscrivant aux événements pour découvrir les possibilités offertes par les nouvelles technologies pour changer un peu les choses.

– Quel est pour vous le meilleur exemple en la matière ?

Un très bel exemple est celui de Kiva, qui allie un système simple, transparent et efficace de micro-crédit. Plus près de nous, ce qu’ont réalisé les ex-Lejaby pour relancer leur activité, à travers leur campagne de mobilisation sur Internet et les réseaux sociaux, est tout à fait remarquable.

A très bientôt sur Arizuka !

Oct 2, 2012
#arizuka #social good week #interview

septembre 2012

4 billets

Sep 25, 2012
#arizuka #associations #social good week #collecthon #événement
Appel à projets & agenda d’Arizuka

L’équipe d’Arizuka, après avoir préparé l’été durant conférences et événements, a décidé de sortir de la fourmilière et de venir à votre rencontre.

Nous lançons donc aujourd’hui, avec nos estimés confrères, un appel à projets localisés en région Limousin ! Les projets sélectionnés seront mis en avant le 11 octobre prochain, lors de la première étape de notre Tour de France du financement participatif, à Limoges. Vous trouverez plus d’informations sur le site dédié à cette conférence : Finance participative en Limousin.

Cette manifestation est l’un des nombreux événements auxquels notre équipe participera durant les prochaines semaines. En voici la liste, qui sera complétée ou amendée si besoin : 

Dans le cadre de la Social Good Week, l’équipe d’Arizuka sera présente aux événement suivants :

– Collec’Thon, au Carrefour des Associations Parisiennes, le samedi 22 septembre 2012

– Conférence Inaugurale de la Social Good Week, Université Paris Diderot, le mardi 25 septembre 2012

– Conférence Nouvelles technologies & financement de la solidarité, à l’Appart SFR, le mercredi 26 septembre 2012

– ApéroTwONG, à Paris (lieu en cours de définition), le mardi 2 octobre 2012

Aux mois d’octobre et novembre prochains, vous pourrez nous retrouver ici :

– Conférence Finance participative en Limousin, à la Fondation La Borie-en-Limousin, le 11 octobre 2012

– Forum “Monter sa boite, mode d’emploi”, à la Maison de l’Emploi et de la Formation de Nanterre, le 11 octobre 2012

– Forum “Mobilisation associative et citoyenne : parlons pratique”, à l’Hôtel de Ville de Paris, le 10 novembre 2012

Au plaisir de vous retrouver à l’une de ces manifestations !

Fabrice

PS : vous ne pouvez vous rendre à ces événements, mais souhaitez nous contacter ou nous rencontrer ? Pas de problème, envoyez-nous un petit message grâce à notre formulaire de contact !

Sep 18, 2012
#arizuka #projet
Quoi de neuf dans la fourmilière ?

Beaucoup de nouveautés dans la fourmilière et autour de celle-ci, dans l’écosystème du web solidaire !

Et de un !

Nous levons notre verre à la santé du projet Tailleur de Bière (l’abus d’alcool est dangereux pour la santé), premier projet financé par la fourmilière ! Félicitations au porteur de projet et merci à tous les soutiens !


Dans l’écosystème

Cet été, l’équipe d’Arizuka a travaillé à la mise en ligne du site de la Social Good Week et à l’organisation de l’événement “Nouvelles technologies & financement de la solidarité”, le 26 septembre prochain.

La Social Good Week est une manifestation consacrée au numérique solidaire. Rassemblés autour du thème « Comment les nouvelles technologies changent le monde », plus d’une vingtaine d’évènements à travers la France proposent de découvrir ces innovations qui apportent des solutions à des problèmes sociaux et environnementaux, et de stimuler leur création.

Nous vous attendons nombreux à cet événement, ainsi qu’à la conférence inaugurale du 25 septembre !

Dans la fourmilière

Nous avons mis en ligne plusieurs évolutions afin de faciliter la vie à nos utilisateurs et porteurs de projets, citons entre autres :

– Optimisation du chargement des pages du site

– Correction de bugs d’affichage

– Envoi de mail automatiques lors de la publication de messages sur les murs des projets

– Suivi des projets publié lors d’appels à projets ou de partenariats (teasing !)

A très bientôt sur Arizuka,

Fabrice

Sep 11, 2012
#arizuka
Les 5 plus gros succès de KickStarter, et ce qu’ils dévoilent

Aujourd’hui, rêvons un peu avec un aperçu du financement participatif aux Etats-Unis, en plein boom. La principale plate-forme de “crowdfunding” est KickStarter, et cette dernière a annoncé récemment vouloir s’implanter sur le marché européen.


Pour un peu mieux la connaître, voici par ordre croissant la liste des 5 plus gros financements obtenus par des projets sur cette plate-forme.

5) Wasteland, jeu vidéo, 2,9 millions de dollars pour 900 000 $ demandés

4) Double Fine Adventure, jeu vidéo, 3,3 millions de dollars pour 400 000 $ demandés

3) Reaper Miniatures Bones, jeu de figurines, 3,4 millions de dollars pour 30 000 $ demandés

2) OUYA, console de jeu vidéo, 8,6 millions de dollars pour 950 000 $ demandés

1) Pebble, montre “intelligente”, 10,3 millions de dollars pour 100 000 $ demandés


Que dire à la vue de ce classement ?

Que KickStarter, même s’il se présente comme généraliste, finance principalement des projets culturels.

Que la majorité des projets financés auraient pu l’être sans passer par du financement participatif : il s’agit de pré-ventes de produits populaires (jeux vidéos, accessoires pour geeks) qui ont déjà leur clients et souvent des financements complémentaires classiques

Qu’ils s’adressent à un public restreint : technophiles ou milieu de l’art

Qu’ils excédent par un facteur de 3 à 100 leur objectif de financement, alors même que la moitié des projets sur KickStarter ne sont pas financés.


Ne le nions pas, KickStarter est un réél succès, et démontre que le modèle du financement participatif est viable. Cependant, il reste encore beaucoup à faire pour généraliser ce concept, qui à notre avis est encore trop cantonné sur la niche du culturel – techno – artistique, et n’a pas encore fait l’effort de se démocratiser. 

Sep 4, 2012
#kickstarter #crowdfunding

août 2012

5 billets

Chronique juridique – Pourquoi et comment les associations vont bénéficier de l’essor du Financement Participatif

Episode 1

 

Contexte économique et social : le contexte, chacun le connaît, une crise dont la durée demeure imprévisible.

Les effets pour les associations de cette situation sont multiples :

Le tissu associatif français est intimement lié à la manne étatique aussi bien au niveau national que local. Or, face à ce qui est communément appelé la « crise de la dette », la tendance est, si ce n’est au tarissement du moins à l’affaiblissement de ce type de financement ;

Autre impact de cette crise, les sponsors habituels que pouvaient être les entreprises voire les créanciers « ordinaires » que sont les banques  soutiennent  également de moins en moins les initiatives associatives ;

Il ne reste bien souvent à la disposition des associations que la motivation et la détermination de ses membres … ainsi que leurs portes-monnaie !

La situation est donc complexe et les associations, pourtant bien souvent débordantes d’activités et de projets, sont contraintes d’utiliser une grande partie de leur énergie pour survivre et se maintenir financièrement à flot.

Face à cette situation, il est souhaitable de proposer à ce chaînon essentiel de notre tissu social des solutions alternatives de financement.

De ce point de vue, le financement participatif, notion déjà évoquée précédemment sur ce blog, semble quasi taillé sur mesure pour relever ce défi. Sans détailler tout le fonctionnement de ce mode de financement, il est intéressant de noter les éléments et valeurs que ces deux mondes du financement participatif et de l’associatif ont en commun :

La volonté des participants de choisir librement et dans la transparence un projet, créant ainsi une communauté tendu vers un but commun ;

La volonté de ne pas prendre en considération uniquement des aspects de rentabilité financière mais plutôt d’intégrer des valeurs telles que l’éthique et l’intérêt intrinsèque d’un projet, l’aide de son prochain, le sentiment d’appartenance à une aventure qui peut souvent s’avérer formidable. ;

Enfin, une association comme une entreprise de financement participatif à comme objectif de créer une communauté permettant aux une d’engranger de nouveaux bénévoles et aux autres de trouver des relais et des apporteurs de fonds.

Où se situe la considération juridique dans ces élucubrations me direz-vous ?

Il se trouve que, à l’instar des valeurs partagées par les deux activités précédemment mentionnées, la qualification juridique d’association peut permettre de récompenser les membres d’une communauté qui voudraient participer à un projet associatif. Ces « récompenses » peuvent prendre une variété de forme importante (avantages fiscaux, en nature etc.).

Je me propose donc dans les jours qui viennent :

  • De rapidement vous rappeler ce qui fait de l’association au sens de la loi de 1901 une structure juridique si particulière, dotée de droits et de devoirs qui lui sont propres ;
  • Puis de vous exposer les synergies et avantages que les associations comme leurs soutiens par le biais de financement participatif peuvent trouver dans ce mode de financement.

A bientôt !

Aug 28, 2012
#financement participatif #associations
6 bonnes choses à savoir pour créer un logo

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Logotype : nom masculin, représentation graphique d’une marque commerciale, du sigle d’un organisme, d’un produit. Abréviation usuelle : logo.

(Dictionnaire Larousse)


Lorsque l’on créé une société, un projet, un événement, on a toujours envie de lui donner du caractère grâce à une identité forte, colorée et de nombreux textes… Faites attention, une fois le bébé lancé, ce n’est pas toujours simple de changer de logo, surtout si votre clientèle s’y est habitué. Votre logo va représenter votre entreprise, votre projet, vous, et ce auprès de tout le monde. Il sera repris, publié, montré et regardé. Après tout le logo, c’est l’identité de votre marque. Son empreinte digitale.

Ca vaut le coup de prendre du temps pour en parler, non ?

Afficher davantage →

Aug 21, 2012
Coeur de broker – Qu’est-ce que la finance ?

De récents échanges à propos de finance, d’économie et de création monétaire m’ont convaincu qu’une série de billets pédagogiques à ces sujets avaient leur place sur notre blog.

Comme vous le savez peut-être, une partie de notre équipe est issue du monde de la finance. Nous voyons Arizuka comme un moyen de rendre ce sujet accessible au public en permettant aux porteurs de projets de tisser des liens avec leurs soutiens. Mais nous ne sommes pas seuls au monde, et Arizuka est un moyen de financement complémentaire pour les projets. D’autres acteurs existent, jouant différents rôles dans le système financier.

Qui sont ces acteurs ?

Au 20h, on vous parle du marché et de la BCE, de Wall Street et de la City, des investisseurs et des fonds de pension. Mais sur les plateaux, les invités sont à peu près toujours les mêmes, et aucun ne se présente en vous disant : “Bonjour, le marché c’est moi !”.

Vous êtes curieux et vous tapez “Finance” dans votre moteur de recherche préféré, vous trouvez un lien vers votre encyclopédie en ligne préférée. Vous êtes toujours curieux,  vous cliquez sur le lien. Et vous tombez sur ça. Et vous fermez votre navigateur, les J.O., c’est tous les quatre ans, profitons-en maintenant !

Avant de donner une définition, quelques rappels sont indispensables :

– On peut voir le monde comme étant divisé en trois groupes : les personnes physiques (vous, moi), les personnes morales (une entreprise, une association, une collectivité, une coopérative), les états (qui sont des personnes morales un peu particulières).

Dites vous que derrière tout cela, il n’y a que des hommes (et des femmes). Toute décision prise au sein d’une organisation tient donc compte de contraintes personnelles et de contraintes propres à cette organisation : que veulent les actionnaires ? les salariés ? les clients ? les électeurs ? quel est mon propre objectif ?

– Parmi ces personnes et ces organisations, certaines ont un surplus de richesse, qu’ils ont transformé en monnaie pour être plus facilement stockable, quantifiable et échangeable. D’autres ont besoin d’argent pour réaliser un objectif.

– La finance, c’est l’ensemble des liens qui permettent à ceux qui ont un surplus de richesse de le transférer à ceux qui en ont besoin pour réaliser un objectif.

Nous essaierons de définir dans le prochain billet comment, par qui et sous quelles conditions sont réalisés ces transferts.

Pour finir, je ne peux que vous conseiller la lecture, même occasionnelle, des blogs suivants, leur immense mérite est d’être relativement accessibles. Je listerai dans un futur billet des blogs présentant d’autres points de vue.

– Captain Economics : analyse de l’actualité et explication des théories économiques ;

– Margin Call : le point de vue d’acteurs de marché, qui permet de mieux comprendre certains mécanismes financiers ;

– Démystifier la finance : un banquier français à New York décode l’actualité financière ;

– Tropical Bear : pas de mise à jour depuis 2011, peut-être parce que la déflation tant attendue n’est toujours pas arrivée, mais les anciens billets sont intéressants.

A bientôt,

Fabrice

PS : désolé pour le jeu de mot du titre, je n’ai pas pu m’en empêcher…

Aug 14, 2012
#finance
Nos 10 gemmes préférées pour Ruby On Rails

Nous avons adopté Ruby On rails pour développer Arizuka. Ce framework bénéficie notamment d’une communauté très active, qui propose de nombreuses extensions appelées gemmes (gems en anglais). Elles simplifient grandement nos vies de développeurs. Voici donc une sélection de nos gems préférées.

  1. will_paginate
    Un must-have pour afficher des listes d’éléments sur plusieurs pages. Très simple à mettre en place dans les vues, il suffit d’appeler ma méthode will_paginate avec la liste d’objets en paramètre.
  2. devise
    La référence pour gérer l’authentification des utilisateurs. Elle sait tout faire : réinitialisation des mots de passe, confirmation d’adresse email, etc.
  3. paperclip
    La manière la plus simple de gérer des images sur votre site.
  4. formtastic
    Simplifie la gestion des formulaires. Nous l’avons adoptée afin d’alléger les vues associées aux formulaires et d’uniformiser leur style.
  5. haml
    Dans les vues, remplace le html par un langage épuré et esthétique, le HAML. Nous trouvions les vues ERBclassiques trop verbeuses et peu faciles à analyser. Le HAML retire l’inutile, et permet de mettre en valeur la hiérarchie des balises.
  6. annotate
    En une ligne de commande, permet de commenter tous vos modèles à partir des informations de schéma de BDD. Nous l’avons intégrée à nos scripts de contrôle, car elle simplifie le travail sur les fichiers modèles.
  7. rdoc
    Génère automatiquement la documentation à partir des commentaires de vos modèles. A chaque livraison, ce script est exécuté.
  8. rspec
    La référence du TDD (Test Driven Development) : les spécifications intégrées au code, en toute facilité. Lorsque nous intégrons une nouvelle fonctionnalité, nous commençons toujours par rédiger une rspec. Ensuite nous développons afin de répondre à ces spécifications.
  9. paypal_adaptive
    La manière la plus simple de faire appel aux API Paypal : très puissant ! En quelques jours, nous avons été capables de mettre en place des promesses de paiement avec PayPal.
  10. sass-rails
    Sass intègre aux feuilles de style CSS3, utilisées pour définir le design des pages web, des fonctionnalités propres aux langages de programmation : fonctions, variables, héritage, etc. Bref, tout pour faciliter l’utilisation des feuilles de style et éviter au développeur de se répéter !

Et vous, quelles sont vos gemmes préférées ?

Nous sommes à la recherche d’une gem permettant d’intégrer un module de blog. Des suggestions ?

Aug 7, 2012
#ror #ruby on rails #dev
Nouveaux projets et programme chargé !

Cet été, nous travaillons activement à l’amélioration d’Arizuka suite à vos précieux retours, à l’accompagnement de porteurs de projets ainsi qu’à la mise en oeuvre de partenariats. L’été sera donc studieux pour notre équipe. D’ici la rentrée, découvrez les projets de la fourmilière, soutenez-les et parlez-en autour de vous !

Chassez le gaspi…

…soutenez VoltOmhElec !

La thermographie est le seul outil capable de produire une image des pertes énergétiques d’un bâtiment ou des échauffements anormaux sur un système électrique. La détection des fuites et du gaspillage de l’énergie est aujourd’hui une nécessité. La thermographie procure un impact direct sur la maitrise de l’énergie, suivant l’adage “L’énergie est chère, économisons-là”.



Sauvez une carotte…

…soutenez Légumandise !

A l’échelon local, LEGUM’andise lutte contre la pauvreté, la faim et le gaspillage. En collectant des légumes en surproduction ou hors calibre, en les transformant en préparations gastronomiques, en permettant le retour à l’emploi de personnes démunies par l’insertion, en redistribuant une part de sa production à l’aide alimentaire.

A très bientôt sur Arizuka !

Aug 4, 2012
#arizuka #projet

juin 2012

2 billets

Arizuka à la Cité des Métiers

Nous serons, vendredi 22 juin, de 13h30 à 17h30, à la Cité des Métiers de Nanterre pour un “Speed dating” Finance.

Merci à la Maison de l’Emploi et de la Formation de Nanterre de nous accueillir !

A vendredi,

L’équipe d’Arizuka

Jun 20, 2012
#rencontre #salon #financement participatif #entrepreneurs
Le lancement c’est maintenant !

Peu de nouvelles ces dernières semaines sur le blog, pris que nous étions dans… le lancement d’Arizuka !

Nous sommes donc très heureux de vous annoncer que les premiers projets n’attendent plus que vous :

  • Voisins Gourmands : “La cuisine est une passion, partageons la ensemble” – Un réseau créateur de lien social à travers la cuisine !

  • Les Mamans des Lascars : “Tournage d’un clip de rap acoustique” – Une artiste qui soutient les mamans de nos pauvres lascars en chanson !


Merci à tous de nous avoir, ces derniers mois,fait part de vos remarques et commentaires qui nous ont aidé à améliorer l’interface et l’ergonomie du site. Merci également aux porteurs de projets qui nous suivent depuis plusieurs mois maintenant.

L’aventure commence aujourd’hui, et nous vous préparons pour les semaines à venir de nouvelles fonctionnalités et, nous l’espérons, de très belles surprises !

A bientôt,

L’équipe Arizuka

Jun 19, 2012
#arizuka #financement participatif #innovation #solidarité

mai 2012

1 billet

Une lettre d’information très informative !!

En mai nous couvons vos projets … et nous ne sommes pas seul … voici le programme de notre dernière lettre d’information !

May 4, 2012
#arizuka #crowdfunding #financement participatif

avril 2012

5 billets

Lancement de notre couveuse

Nous avons présenté en début de semaine notre couveuse auprès des premiers porteurs de projet. Il s’agit d’une plateforme qui évoluera en même temps qu’Arizuka et permettra aux porteurs découvrant le financement participatif de tester les fonctionnalités d’Arizuka avant de présenter leurs projets.

Intéressé ? Contactez-nous !

Apr 25, 2012
#arizuka #financement participatif #crowdfunding #projet
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Apr 12, 2012
#crowdfunding #arizuka #financement participatif
Newsletter d’avril

Pour ceux qui ne seraient pas abonnés, nous venons de publier notre newsletter d’avril !

Vous pouvez vous inscrire ici (une lettre d’information par mois) !

Apr 5, 2012
Compte rendu de la conférence du 26 mars

Le compte rendu de la conférence “Le financement participatif interpelle les candidats” est disponible en ligne !

Apr 4, 2012
Revue de web : La finance participative interpelle les candidats

image

Voici quelques liens vers des articles ou billets relatifs à la manifestation du 26 mars dernier :

  • La finance participative entre en campagne (Locita)
  • Le crowdfunding a de l’avenir et le fait savoir (Blog SFR Faisons du numérique une chance)
  • Les acteurs du crowdfunding signent un manifeste pour interpeller les candidats (FrenchWeb)
  • Le crowdfunding français donne de la voix (LaTribune.fr)
  • Le crowdfunding français dans la présidentielle (Blog BforBank Epargne Responsable)
  • La finance participative interpelle les candidats à la présidentielle (L’Agefi – contenu payant)
  • La finance solidaire s’invite dans la campagne (Les Echos – contenu payant)
  • Edit – La finance participative entre en campagne (BFM Business – Podcast)
  • Edit – La finance solidaire entre en campagne (La Vie)
  • Edit – Ces aberrations qui brident la finance collaborative (OuiShare)
  • Edit– La finance participative permet le développement des projets personnels et collectifs (LesEchos.fr)
  • Edit – Collaborative finance: not so easy to innovate in France (Boiling Frogs)
  • Edit – Un nouveau modèle de croissance possible en France (Le Cercle Les Echos)

N’hésitez pas à nous contacter pour tout ajout ou rectification

Photo : Stanislas Jourdan

Apr 2, 20121 note
#financement participatif #crowdfunding #revue de presse

mars 2012

3 billets

Mar 27, 2012
#Arizuka #crowdfunding #financement participatif
Soutenez le financement participatif !

Lundi 26 mars prochain, au Palais Brongniart, à Paris, les acteurs du financement participatif organisent un événement visant à informer le public et les décideurs du développement de ce secteur, ainsi que des besoins de ce dernier de voir la législation française évoluer.

Selon nous, le financement participatif (crowdfunding) ne s’oppose pas aux formes traditionnelles de financement. Il constitue une approche complémentaire permettant de financer, outre des actifs, des projets. Par là même, il offre à chacun la possibilité de concrétiser une idée, dès lors qu’une communauté de soutiens adhèrent au projet présenté. De plus, la levée de fonds n’est pas l’unique finalité du financement participatif. Il crée aussi un lien entre les porteurs de projets et leurs soutiens.

Notre confiance dans ce nouveau modèle est réelle. Le financement participatif ne constitue ni une mode, ni une lubie. Il a permis de financer des centaines de projets à travers le monde.  Son champ d’application est vaste, s’étendant à tous types de projets : entrepreneuriaux, culturels, associatifs ou personnels. Le modèle a fait ses preuves et le secteur jouit d’une croissance annuelle à deux, voire trois chiffres pour certaines plateformes.

L’équipe d’Arizuka soutient l’initiative des acteurs du financement participatif et sera bien évidemment présente lors de la manifestation du 26 mars.

Rejoignez-nous ! Signez la pétition de soutien au Financement Participatif et prenez part à la manifestation du 26 mars !

A bientôt,

L’équipe d’Arizuka

Mar 21, 2012
#Arizuka #Financement participatif #crowdfunding
Quelques liens

Voici quelques liens vous permettant de suivre l’activité d’Arizuka sur les réseaux sociaux : 

– Facebook

– Twitter

– Google Plus

Mar 19, 2012
#Arizuka

novembre 2011

1 billet

Où en est le financement participatif ?

Tout en travaillant sur le site Arizuka, nous conservons un œil sur la concurrence et sur l’évolution du financement participatif en général.

Quoi de neuf en France ?

Beaucoup d’agitation dans le secteur depuis mi-2011 : les principaux sites se développent tandis que de nouveaux acteurs arrivent sur le marché.

Afficher davantage →

Nov 8, 2011
#Arizuka

octobre 2011

1 billet

Arizuka : comment ça marche ?

Dans ce billet, je vais vous expliquer comment fonctionne Arizuka. C’est très simple : 

1) Nous sélectionnons des projets portés par des particuliers, des associations ou des entrepreneurs qui recherchent un financement complémentaire.
2) Les projets sont présentés aux internautes, qui peuvent les financer pour un montant de leur choix.
3) Dès qu’un palier de fonds collectés est atteint, les fonds sont crédités sur le compte du porteur de projet.
4) En contrepartie, celui-ci s’engage à prouver l’utilisation des fonds et à donner régulièrement un statut de l’avancée de son projet aux internautes.

Des questions sur le fonctionnement ? N’hésitez pas à les poser dans les commentaires : nous répondrons aux questions les plus fréquentes dans les prochains billets.

Intéressés par Arizuka ? Inscrivez-vous à la newsletter pour recevoir de nos nouvelles.

Oct 15, 2011
#Arizuka

septembre 2011

1 billet

Arizuka : état d’avancement

Quelques nouvelles d’Arizuka, notre plateforme de financement participatif :

Les développements ont bien avancé pendant l’été, et le design des pages les plus importantes est actuellement intégré au site. Ludovic a de son côté travaillé sur l’interface de paiement Paypal. Nous espérons lancer une version de test en septembre, et en parallèle soumettre nos développements à Paypal pour validation (indispensable avant tout déploiement de la plateforme en production).

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Sep 7, 2011
#Arizuka

août 2011

1 billet

Création de société – Démarrage de l’activité

Nous terminons notre série sur la création de société avec les dernières démarches à effectuer pour que votre société puisse démarrer son activité. Attention, il s’agit de démarches effectuées en juin 2011, dans le cas particulier de notre société. Nous vous encourageons à vérifier que ces démarches sont toujours d’actualité et qu’elles s’appliquent à votre cas.

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Aug 8, 2011
#Entreprendre

juillet 2011

3 billets

Création de société – Démarches administratives

Nous continuons notre série sur la création de société avec les démarches nécessaires pour enregistrer votre entreprise auprès de l’administration. Attention, il s’agit de démarches effectuées en juin 2011, dans le cas particulier de notre société. Nous vous encourageons à vérifier que ces démarches sont toujours d’actualité et qu’elles s’appliquent à votre cas.

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Jul 25, 2011
#Entreprendre
Création de société – Travaux préparatoires

Dans cette série de billets, je vous présenterai les étapes que nous avons suivies lors de la création de notre société, Treize37 .

Cette liste n’est pas exhaustive, mais elle devrait convenir aux créateurs d’entreprise dans le domaine de l’Internet. Ma source principale pour ce dossier a été l’Agence Pour la Création d’Entreprises (APCE). Attention, il s’agit de démarches effectuées en juin 2011, dans le cas particulier de notre société. Nous vous encourageons à vérifier que ces démarches sont toujours d’actualité et qu’elles s’appliquent à votre cas.

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Jul 14, 2011
#Entreprendre
Le financement participatif

Bonjour à tous, en attendant un billet expliquant un peu plus le fonctionnement prévu d’Arizuka, voici un petit article paru ce week end dans Le Monde concernant le financement participatif : lien vers l’article.

Jul 11, 2011
#Arizuka

juin 2011

4 billets

La genèse de notre projet, troisième et dernière partie

Aujourd’hui, nous mettons fin au suspense. Comme vous l’avez compris, nous nous lançons sur le marché du financement participatif, en proposant notre plateforme Arizuka .

Pour nous :

– le retour sur investissement n’est pas la finalité. Les internautes financent un projet qui leur tient à cœur, et la récompense n’intervient que de façon secondaire.

– la présélection des projets est importante. Les projets doivent avoir un intérêt pour la communauté, et nous évaluons leur qualité et le sérieux du porteur.

– un espace d’échange doit exister entre les porteurs et leurs soutiens. L’investisseur participe à la vie du projet qu’il finance.

– l’utilisation des fonds doit être contrôlée. Un plan de financement par étape est établi au début du projet. A chaque paiement, le porteur justifie ses dépenses avec des factures.

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Jun 27, 2011
#Arizuka
Jun 18, 2011
#Arizuka
Pourquoi Treize37 ?

Vous avez été nombreux à nous poser cette question : que signifie “Treize37“ ? Nous y répondons dans ce billet.

Comme nous l’écrivons sur la page de présentation de l’équipe, nous évoluons depuis plusieurs années dans les couloirs feutrés de grandes institutions financières. Mais avant d’adopter les typiques costumes à rayures et bretelles (cf. Wall Street), nous avons été jeunes et… ingénieurs informaticiens.

Nous cherchions un nom de société, et l’une des possibilités était de faire référence à cette origine commune. Nous avons donc cherché des idées parmi les signes de reconnaissances des geeks. Un langage souvent utilisé entre eux consiste à remplacer les lettres d’un mot par d’autres caractères alphanumériques, par exemple 4 pour A, 8 pour B, 3 pour E, etc. C’est en quelque sorte l’équivalent du langage SMS avant l’heure, dans la plupart des cas totalement illisible, et souvent ridicule. Pour une description plus détaillée, vous pouvez consulter la page wikipédia du “leet speak”, puisque tel est son nom.

Une façon d’écrire “leet speak” est “1337 5|°34|<“, ce qui confirme son caractère peu compréhensible pour les non initiés. Nous avons gardé “1337″, et avons transformé les deux premiers chiffres en français. D’où Treize37 ! Le nom de notre société est donc un clin d’œil à ce passé glorieux ! 

Et pour conclure, avec le 37, nous faisons aussi une référence supplémentaire à 37signals. Il s’agit d’une société américaine créant diverses applications sur Internet, et qui a exposé sa démarche dans des livres et sur son blog. Leurs travaux nous ont beaucoup inspirés dans notre manière de créer notre entreprise.

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Jun 14, 2011
#Treize37
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