La protection des Tribus Indiennes

Rendre aux Indiens ce qui leur appartient

Achat de matériel et d’affiches pour la campagne sur les tribus indiennes
Mise en place d’une conférence ; intervenants (Avocats, Unesco, Anthropologues etc)
Newsletters, flyers, communication
Déroulement global de la campagne (Sensibilisation, Interview, Vidéos Micro-Trottoir)

La protection des Tribus Indiennes : Rendre aux Indiens ce qui leur appartient

Eveiller les consciences 

Les Indiens sont très vulnérables et menacés dans leurs langues, leurs savoirs et leurs cultures qui sont uniques. Gardiens de traditions qui participent à l’histoire de l’humanité, ils sont aussi porteurs de réponses aux dangers du monde moderne. Il ne faut pas que leur vision originale du monde et leurs trésors de connaissances soient absorbés par la culture dominante

Certains de leurs objets rituels dont ils ont été dépossédés représentent l’esprit de leurs ancêtres et sont indispensables pour leurs célébrations, leurs liens sociaux et leurs survie Ces objets sacrés sont les témoins concrets de leur histoire.  Fussent ils artistiques, ils ne peuvent être traités comme de simples objets du commerce spéculatif. Leur dispersion est ressentie comme une grave profanation.

La méconnaissance générale de ces impératifs de protection nécessite d’éveiller les consciences. Il faut engager une dynamique pour maintenir cette diversité humaine dans le champ des civilisations. La campagne contribue à ce mouvement essentiel de l’histoire de l’humanité.

 

Agir juridiquement pour la restitution d’objets rituels 

Mandatés par l’ONG Survival et la tribu Hopi, des avocats bénévoles de l’AADH sont intervenus en France dans 3 procédures pour empêcher la vente de masques. Leurs échecs sont dus à la réglementation française trop ferme. La poursuite de ces efforts est indispensable.

 

Contribuer à faire évoluer les droits applicables 

Certains pays s’attellent à protéger les biens culturels tels que la Nouvelle Zélande dont le retour des biens aux aborigènes, commencé en 1970, devrait encore se poursuivre pendant  20 ans. De même, le Pérou et la Bolivie coopèrent depuis 2012 pour lutter contre l’expansion des trafics illégaux de biens culturels. Ces lignes sont soutenues par l’Unesco qui recommande aux Etats de participer activement au retour des biens culturels déplacés.

D’autres pays notamment européens semblent moins conscients de cette nécessité impérieuse de protection.

L’AADH, au travers des analyses de droit comparé de ses nombreux avocats bénévoles tend à une réflexion globale et à l’harmonisation des législations européennes rendue possible par une communication forte et ciblée auprès des pouvoirs publics.

 

Montrer les facettes possibles du bien vivre ensemble

Le musée national d’Australie responsable et durable a rendu des objets sacrés aux Aborigènes. Il a même été sollicité par ces derniers afin de conserver des sépultures.

Cette expérience atteste qu’il peut ne pas y avoir d’antagonisme entre les intérêts des musées et ceux des autochtones.

Il nous faut simplement réinventer des principes de vie au sein de notre société dite moderne dans l’esprit du bien vivre ensemble, d’écoute, de respect et encourager l’évolution du droit en ce sens.

 

Communiquer

Il est impératif de communiquer au travers des réseaux sociaux et de conférences pour faire avancer la cause des Indiens, acquis irréductible de notre propre diversité et de notre mémoire.

Le contexte

Pourquoi a-t-on lancé cette campagne?

Les 12 avril, 9 décembre 2013, 27 juin 2014 et le 1er Juin 2015 des ventes aux enchères à Paris de masques cérémoniels des Indiens hopi d’Arizona et apaches ont mis en évidence la méconnaissance totale de ce patrimoine collectif d’êtres vivants sacrés. 

Mandatée par l’ONG Survival et la tribu hopi, l’AADH a fourni des avocats bénévoles pour défendre les Hopi. Les avocats ont échoués à cause d’une réglementation française trop ferme. 

La poursuite de ces efforts est indispensable. L’AADH a donc décidé de mettre en place une campagne de sensibilisation sur deux ans qui permettra une avancée de la réglementation et une meilleure protection des Indiens.

 

La vente de ces objets, un sacrilège

“ Le simple fait qu’un prix ait été étiqueté sur ces objets d’une si grande valeur culturelle et religieuse est plus qu’offensant. Ils n’ont pas de valeur marchande. Un point c’est tout.”
– Leigh Kuwanwisiwma, directeur du Bureau de la préservation culturelle de la tribu hopi. © Survival

L’impact sur la communauté

Nos objectifs :

1/ Eveiller les consciences

2/ Agir en justice pour la restitution d’objets sacrés

3/ Contribuer à faire évoluer les droits applicables
 
4/ Montrer les facettes possibles du bien-vivre ensemble

 

 

Pourquoi avons-nous besoin de vous ?

Nous avons jusqu’à présent principalement oeuvré pour l’éveil des consciences et avons réalisé 4 fiches présentant des tribus indiennes et le rapatriement vers elles de bien sacrés! Nous avons également réalisé une vidéo “micro-trottoir ” posant au public la question suivante “Et vous, que savez vous des indiens?”. Pour les découvrir, rendez vous sur notre site de l’aadh.fr !

Aujourd’hui, nous avons besoin de votre soutien afin de pouvoir poursuivre nos actions.

 

Noanne TENNESON LIER

L’Alliance des Avocats pour les Droits de l’Homme (AADH) est née de la rencontre en avril 2008 de François Zimeray, Ambassadeur pour les Droits de l’Homme auprès du Ministère des Affaires Étrangères et de Noanne Tenneson, ancienne avocate de Jeantet Associés désireuse de mettre ses compétences au service des Droits de l’Homme et des Droits de l’Enfant.
Noanne Tenneson est aujourd’hui directrice générale de l’AADH et est en charge du projet sur la protection des biens culturels indiens.

L’AADH coordonne la fourniture de services juridiques gratuits et confidentiels auprès des ONG, associations et institutions dédiés à la protection des droits humains, quelles que soient leurs dimensions nationales ou internationales.
Les avocats des cabinets membres (plus de 15 0000 avocats bénévoles) répondent à l’ensemble des problématiques juridiques RENCONTRÉES par ces organisations essentiellement sous forme de consultations et de conseils.

L’A.A.D.H est sollicitée par les organisations bénéficiaires dans 4 situations majeures :
– Assistance en cas de violations des droits de l’Homme et de l’Enfant
– Recherche et études en droit comparé
– Appui à la gestion, administration et problèmes juridiques des organisations
– Formation juridique des professionnels engagés, politiques, humanitaires et avocats

Les soutiens

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marion v-ya
marion v-ya a apporté son soutien

5 EUR

IDHBP
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Projet présenté par

AADH

Noanne TENNESON LIER

Directrice générale

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